L’article de Christine Sourgins est un morceau de bravoure pour une journaliste de l’art.
Bravo.
A la fin, la vision la plus saine de l’art est sans doute la suivante.
Il en va d’une oeuvre d’art comme de l’amour.
On en tombe amoureux ou pas.
Cette reference permanente de l’AC a un concept suppose, plus la piece est vide et plus elle represente une opportunite a l’introduction d’une gnose – grace justement a cette vacuite – est horripilante et ne conjure rien d’autre pour moi que la triste image du mariage force.